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L’Ecoparc de Norroy-le-Veneur poursuit son développement

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Fleuron de l’activité économique de la Communauté de Communes de Maizières-lès-Metz, l’Ecoparc de Norroy-le-Veneur poursuit tranquillement son développement. Cette zone est destinée plus particulièrement au tertiaire supérieur, aux activités technologiques, médicales et de formation. Une approche Haute Qualité Environnementale (HQE) préside à sa réalisation. L’idée est d’offrir aux entreprises un espace paysager fonctionnel et de proposer à leurs salariés et aux habitants du secteur un lieu de vie et de détente. L’Ecoparc se déploie sur une superficie de 78 hectares viabilisés, dont 33 hectares sont cessibles aux entreprises. La surface commercialisable a été augmentée de dix hectares depuis 2010. L’aménagement du site a représenté un investissement initial de 23 millions d’euros. En 2011-2012, des travaux, d’un montant de 2,6 millions d’euros, ont été réalisés dans la partie Nord pour proposer vingt parcelles supplémentaires aux PME et PMI.

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Le Meltem à l’Ecoparc de Norroy-le-Venneur (Crédits photo : Dumur Immobilier)

Les quatre tours du Meltem, immeuble achevé en 2010 sur un terrain de plus de 16 000 mètres carrés au cœur duquel une bambouseraie a été plantée, a permis d’offrir douze plateaux de 300 mètres carrés chacun, soit 3 600 mètres carrés au total de bureaux. Une pépinière d’entreprises s’est installée dans l’une de ces tours. Elle accueille huit sociétés qui emploient 17 personnes. 16 autres entreprises, dont les activités vont de l’immobilier à la distribution de produits biométriques et d’alarmes, en passant par la production audiovisuelle, la commission en transports ou encore l’expertise comptable, se sont implantées dans le même immeuble. Ces entreprises emploient entre un et quinze salariés, pour un total de près de cent personnes.

En face du Meltem, un autre immeuble, le Marin, vient d’être achevé. Il semble posé sur une mer de verdure. Ce bâtiment aux parois de verre, dont l’entrée est agrémentée d’un patio avec des plantations, héberge depuis peu, sur tout son deuxième niveau, la direction Grand Est du groupe Onet et ses vingt salariés. Un cabinet vétérinaire ouvrira bientôt au rez-de-chaussée, tout comme une crèche qui pourra accueillir les enfants des personnes travaillant à l’Ecoparc. Un peu plus loin, deux autres enseignes sont installées Rue Hubert Reeves : Kontroll-Technik, qui s’occupe de contrôles non destructifs par champs électromagnétiques, ainsi que JVS, qui édite des logiciels et équipe en informatique des collectivités et des services de l’eau. Leurs bâtiments, en bordure des larges allées parsemées d’arbres et de plantes fleurissantes, se fondent au milieu des espaces verts. Ce cadre environnemental verdoyant est l’une des spécificités de l’Ecoparc.

Trois projets sont en cours de création dans cette zone qui bénéficie de la proximité des autoroutes A 4 et A 31, ainsi que de la RD 52 et des grandes agglomérations. L’entreprise Devos Vandenhove prépare son installation dans un nouveau bâtiment de 1 020 mètres carrés sur un terrain d’une superficie de 5 700 mètres carrés. Elle y réalisera une activité de maintenance électromécanique et électronique. LCR fait construire de son côté une structure de 3 000 mètres carrés sur un espace de 9 300 mètres carrés, tandis que France Frais implante une activité de grossiste de 6 000 mètres carrés sur 2,1 hectares de terrain.

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Un commentaire

  1. Groupe BLE Lorraine

    18 octobre, 2014 à 13:28

    Six bâtiments ont jusqu’à présent été construits sur l’Ecoparc de Norroy-le-Veneur. Outre les deux principaux situés de chaque côté de la route, à savoir le Meltem et le Marin, quatre autres abritent les locaux de plusieurs entreprises, dont l’éditeur de logiciels informatiques JVC, une société de signalisations de chantiers routiers (Trafic), ainsi qu’une autre de maintenance électrique et électronique (Devos Vandenhoven). Seule la moitié des 80 hectares de l’Ecoparc est vendue en parcelles de 3 000 à 16 000 mètres carrés. Le reste a été aménagé par des paysagistes. Des centaines d’arbres et d’espèces florales ont été plantés ces dix dernières années. Des petits ponts de bois font communiquer les rives et surplombent un bras de rivière. De nombreuses pistes cyclables traversent l’Ecoparc. La création de ce dernier a au total représenté un investissement de 25 millions d’euros.

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