Insolite

Cette page rassemble tous les articles publiés présentant des faits ou des évènements d’actualité insolites en Lorraine.

Vague d’OVNI à Metz et dans sa région

Sphères, cônes ou cigares lumineux, batteries qui se déchargent, couleurs dansantes, etc., entre le 1er et le 21 octobre 1954, une vingtaine de témoignages et d’observations d’OVNI (Objets Volants Non Identifiés) furent collectés en Moselle, plus particulièrement dans les communes de Vergaville, Bidestroff, Kerprich, Guébling, Morsbach, Moncourt, Saint-Avold, Saint-Quirin et Jouy-aux-Arches. A Pournoy-la-Chétive, près de Metz, deux enfants déclarèrent avoir vu un extraterrestre au visage poilu descendre de sa soucoupe volante pour venir leur parler dans une langue incompréhensible.

Un phénomène mystérieux se produisit également le 10 octobre 1954 lors de la Foire Internationale de Metz (FIM). Un puissant projecteur et une station radar des FTA (Forces Terrestres Antiaériennes) de l’époque avaient été installés sur le stand de l’armée française. Lorsqu’aux alentours de 20 heures, le projecteur fut allumé et dressé vers le ciel pour une démonstration, son faisceau vint accrocher un globe immobile, en plein ciel, à la verticale de la foire. Incrédules, les militaires éteignirent l’appareil pour nettoyer ses composants. Après la manipulation et une fois le projecteur rallumé, le globe était toujours là, à une altitude de 12 000 mètres selon les opérateurs. Tout le monde pouvait voir l’objet sauf le radar installé à côté qui ne détecta pas sa présence. L’engin, évalué à une cinquantaine de mètres de diamètre, stationna dans le ciel pendant les trois heures que dura la démonstration du projecteur. Des recherches furent par la suite menées pour déterminer s’il ne s’agissait pas d’un phénomène météorologique, mais l’armée ne communiqua jamais sur l’évènement.

(Source : RL du 22/02/2014)

Mystérieux jeu de l’oie à Oberdorff 

Un enseignant des environs de Fameck resté sans héritier a dernièrement légué au musée de la Maison Lorraine d’Oberdorff une pièce rare, à savoir un jeu de l’oie daté du XVIIIème siècle. Mais il plane un grand mystère autour de cette œuvre.  

Ce jeu de l’oie, daté de 1730, a été peint sur un rectangle de soie. Désormais placé sous verre, il propose un parcours en spirale de 65 cases autour des rois de France, depuis Pharamond, possible premier roi des Francs au Vème siècle, jusqu’à Louis XV. La règle du jeu, appelée « Table des règles et des hasards » est identique à tout bon jeu de l’oie. On aura ainsi le « Bonheur » d’avancer, ou du moins de rester à la même place, ou le « Malheur » de devoir reculer. Il est en outre mentionné que « l’on doublera le montant des points marqués par les Dés lorsque l’on tombera sur une Case où se trouvera une étoile ». Les majuscules en début de mots laissent présager d’une création réalisée par un frontalier du monde germanique. 

Chasse au Darou dans les Vosges

Devant la prolifération de cet animal devenu une animation touristique pittoresque, la ville de Fresse-sur-Moselle, dans les Vosges, a dernièrement décidé de remettre très officiellement au goût du jour la chasse au Darou le mardi 27 juillet 2010. Le Darou étant un animal nocturne, il convient de le chasser entre le crépuscule et l’aube.

Mais au fait, avez-vous déjà entendu parler de cette drôle de bête ? Cet animal brun-gris, également appelé Dahu ailleurs en Lorraine, possède la particularité d’avoir les pattes d’un côté plus courtes que celles de l’autre, un avantage certain pour circuler à flanc de montagne. Le côté où les pattes sont plus courtes détermine en effet le sens dans lequel le Darou tourne autour des montagnes.

Des techniques de chasses sophistiquées ont été élaborées pour attraper le Darou. Le chasseur se cache ainsi dans un buisson et attend qu’un Darou passe à proximité. Là est tout le secret, il faut prendre son mal en patience. Une fois l’animal presque hors de vue, il suffit d’émettre un petit sifflement en utilisant sa lèvre supérieure, sa lèvre inférieure et sa langue. Le Darou, piégé par sa légendaire curiosité, se retourne. Et là, c’est le drame. Ne bénéficiant plus de son appui stable à la montagne, étant au contraire en total déséquilibre puisque ses pattes plus courtes se retrouvent dans le vide, le Darou va rouler dans la pente et choir au plus grand plaisir du chasseur susnommé.

Nancy certifie ses arbres

Nancy aime ses arbres et le fait savoir. Pour preuve, les 12 939 arbres de la ville sont désormais certifiés ISO 9001, une première en Lorraine et même en France. Dans le cœur des Nancéiens, c’est le parc Sainte-Marie qui arrive en tête devant la Pépinière. Il faut dire que la cité ducale est une ville-jardin. Ça saute peut-être moins aux yeux qu’à Metz, mais avec un cinquième de la ville d’espaces verts, jardins privés inclus, la cité ducale n’a décidément pas à rougir de sa nature. 

Dormir avec les loups

N’avez-vous jamais rêvé de dormir au clair de Lune en compagnie de cet animal mythique ? C’est désormais possible au Parc animalier de Sainte-Croix à Rhodes, dans le Pays de Sarrebourg.

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La meute des loups blancs d’Alaska du Parc animalier de Sainte-Croix (Crédits photo : Moselle Tourisme)

Le site a ainsi décidé de marquer le coup pour son trentième anniversaire en créant quatre hébergements insolites d’une capacité totale de vingt lits. C’est l’évolution du parc qui a conduit à cette idée. En effet, alors qu’au début de l’aventure, une demi-journée suffisait pour le visiter, avec l’ouverture du monde de Néo, une extension de trois hectares sur le thème de la biodiversité, il faut bien compter une journée, voire plus, pour découvrir et profiter de l’ensemble du domaine. Si bien que plutôt que de construire un hôtel, le parc a préféré miser sur la qualité et le côté exceptionnel de l’hébergement. Le visiteur peut à ce titre se laisser bercer par la mélodie des loups gris d’Europe dans la cabane de Néo, perchée dans les arbres et équipée d’une douche en plein air, ainsi que d’une éolienne de 3 mètres en plein milieu de la chambre. La cabane du trappeur, petite maison en rondins du Canada, se situe quant à elle sur l’enclos des loups blancs d’Arctique et sur le sentier d’observation. À seulement quelques mètres de là, derrière la vitre de la terrasse, la meute vous observe. Vous partagez la vie intime des animaux au coucher du soleil, la nuit et à l’aube, le tout avec livraison des repas et accompagnement pour une découverte unique du parc. Le visiteur a encore la possibilité de passer la nuit dans une yourte, comme en Mongolie, avec vue sur les chevaux de Przewalski et les aurochs. Depuis le safari lodge serengeti, une tente tout confort, il peut s’endormir en contemplant la plaine des cerfs et les étangs. La plénitude absolue. 

A noter que le Parc de Saint-Croix a fait une demande auprès du Guide Vert Michelin pour figurer dans l’édition des hébergements insolites. Enfin, toujours dans le domaine des expériences atypiques, le parc propose également aux enfants à partir de 10 ans et aux adultes de devenir animalier d’un jour pour vivre le métier de soigneur dans les coulisses du domaine. Une expérience riche en émotions. 

Un milliardaire à Pompidou-Metz

Le Centre Pompidou-Metz a dernièrement reçu la visite du milliardaire russe Roman Abramovitch. Grand amateur d’art et acheteur supposé de plusieurs tableaux de maîtres, l’homme d’affaires a posé son Boeing 767 privé à l’aéroport Metz-Nancy-Lorraine, en début d’après-midi, pour aller visiter l’exposition Chefs d’œuvres ? au nouveau musée d’art contemporain. 

Les paysages des vallées préservés par des alpagas

Le projet d’implantation d’alpagas à Troisfontaines, dans le Pays de Sarrebourg, répond à une double finalité. Il s’agit d’une part d’éviter le boisement des terrains laissés en friche par leurs propriétaires et d’autre part de compléter l’offre touristique existante en termes de restaurants et d’hébergement par la création d’un point d’attraction en bout de piste cyclable. Le projet sous-entend de même la revalorisation paysagère des flancs de collines et des fonds de vallée, en enrayant le phénomène d’envahissement par les friches et par la reconquête des espaces qui étaient autrefois destinés à la pâture et aux vergers. Ce projet s’inscrit par conséquent dans une démarche de développement durable permettant le maintient d’un cadre de vie agréable à travers un impact paysager maîtrisé. Les initiateurs ont souhaité se démarquer des villages des environs en choisissant des alpagas, des animaux qui ne sont certes pas emblématiques de nos contrées, mais qui peuvent susciter une curiosité de la part des visiteurs. 

Rendez-vous des sonneurs lorrains

Chaque année, l’association lorraine pour le développement de la trompe organise le déplacement de tous les souffleurs lorrains. Pour les quatre-vingts ans du Débuché de Nancy, quatre-vingts sonneurs venus de toute la Lorraine se sont retrouvés sur la Place Stanislas et au Parc de la Pépinière à Nancy, afin de proposer deux concerts gratuits. D’avis de spécialiste, faire jouer ensemble autant de sonneurs est spectaculaire et rare à la fois. Si les sonneurs sont associés à la chasse, cela ne fait néanmoins pas d’eux tous des chasseurs. Les musiciens sont en effet formés dans les écoles de trompe appartenant aux fanfares. En moyenne, il faut deux bonnes années pour devenir un bon sonneur, à condition de pratiquer de façon assidue. 

Vie étudiante : les 24 heures de Stan enivre Nancy

C’est une tradition vieille de quatre décennies. Tous les deux ans, écoles et universités de Lorraine se retrouvent à Nancy pour « Les 24 heures de Stan ». Il s’agit de pousser un char, souvent une ancienne voiture, décoré sur un thème particulier, cette année sur la nature sauvage, à l’aide des mains et des mollets pendant 24 heures autour de la place de la Carrière. Pour cela, les jeunes se relayent et s’hydratent de breuvages plus ou moins clairs. Chutes nombreuses, collisions fréquentes et ambiance bonne-enfant sont garanties. Après 24 heures, les épaves ne sont plus tout à fait des véhicules. Rappelons que cette drôle d’idée du mouvement perpétuel est née en 1970 à l’ENSAIA, pour promouvoir le Bal de l’Agro.  

Rénovation du théâtre de Thionville

Le chantier de rénovation de la scène artistique thionvilloise est tombé sur un os, ou plutôt sur une mer de sable. Sous les fauteuils, la plage !

D’après certains, cette présence pour le moins insolite proviendrait d’une technique employée dans les années 1960 pour que la charge du plancher, des fauteuils et des spectateurs soit plus stable sur la chape soutenant la structure. Une réelle surprise pour tout le monde qu’il il faudra donc pelleter avant d’entreprendre l’acte II de la rénovation du bâtiment. Mais c’est quand même incroyable que personne n’est été au courant.

Enfin bon, la fin de chantier est désormais annoncée pour le début 2012, pour un montant identique, à savoir 6,2 millions d’euros. Le projet de rénovation prévoit l’installation de 1 500 nouveaux fauteuils, un emplacement pour une régie centrale et surtout un plateau agrandi. Si vaste d’ailleurs que le théâtre de Thionville pourrait bien se targuer du titre de « plus grande scène de théâtre de Lorraine ». Cette dernière sera modulable en hauteur et plus profonde afin de répondre aux attentes du théâtre contemporain et des spectacles de danse. Au final, les comédiens disposeront d’une base d’évolution de 16 mètres d’ouverture et de 13 mètres de profondeur. A noter enfin que les loges seront refaites à neuf, qu’un petit bureau réservé au Centre Dramatique National sera créé, que la salle Verlaine sera réhabilitée de fond en comble et que l’ensemble sera remis aux normes de sécurité. 

(Source : presse régionale)

De l’art de soigner les peluches

Depuis 2005, les étudiants de la faculté de médecine de Nancy organisent des consultations de nounours. L’édition 2010 s’est déroulée du 6 au 11 Mai. Au delà d’une apparence ludique où les enfants de maternelle jouent aux parents qui viennent faire soigner leur doudou très malade auprès de spécialistes très sérieux, le but de cette opération est avant tout de dédramatiser la maladie et surtout la consultation médicale pour les bambins souvent terrorisés à la simple vue d’une blouse blanche. Les piots ont en tout cas pris leur rôle très au sérieux, les docteurs aussi, allant jusqu’au simulacre d’une opération chirurgicale si besoin. A noter que 850 enfants ont été accueillis cette année par 90 étudiants. Un peu de douceur dans ce monde de brutes …

7 Commentaires

  1. bloggerslorrainsengages

    12 novembre, 2010 à 17:10

    Insolite : un émeu à Hambach !

    Apres la panthère, le pélican et le crocodile, le bestiaire exotique lorrain s’est agrandi, car un émeu a dernièrement pointé son long cou et ses grandes plumes du côté d’Hambach.
    Originaire d’Australie, l’émeu, qui est souvent confondu avec l’autiche, est reconnu pour sa viande et sa poche de graisse utilisée dans la fabrication d’huiles cosmétiques.

    Une habitante a en effet aperçu l’oiseau dans un champ au beau milieu des vaches. Alertée, une équipe de l’office national de la chasse et de la faune sauvage s’est rendue sur place. Si elle n’a pu observer l’animal, elle a en revanche préconisé au maire de l’euthanasier, dans la mesure où l’émeu est considéré comme un animal dangereux. D’un coup de patte, il peut en effet éventrer une personne, sans compter que l’oiseau se déplacerait à proximité d’une route et pourrait occasionner des dégâts s’il entrait en collision avec une voiture.

    Le maire de Hambach a suivi ces conseils et signé un arrêté autorisant l’euthanasie de l’émeu. Mais pour l’heure, l’animal reste introuvable.

    (Source : Le Républicain Lorrain du 11/11/10)

  2. bloggerslorrainsengages

    15 novembre, 2010 à 15:02

    La traque du mystérieux émeu s’est dernièrement arrêtée entre Hambach et Roth.

    Repéré par des promeneurs, l’oiseau a en effet été attrapé. Ce n’était donc pas un canular cette fois-ci.

    Si, dans un premier temps le maire avait signé un arrêté autorisant la mort de l’animal en raison de sa dangerosité, il s’était finalement ravisé à la dernière minute, en tentant le tout pour le tout pour le sauver. Après un premier essai au lasso, l’équipe dépêchée sur place est parvenue à immobiliser l’émeu avec un filet de but. L’animal a ensuite été ligoté, endormi et transporté dans un véhicule.
    Mais sur la route menant à la SPA, où il devait être placé en quarantaine, il a succombé à une crise cardiaque consécutive au stress de sa capture. Il n’a pu être réanimé malgré les massages.

    Nul ne sait depuis combien de temps l’animal errait dans le secteur et d’où il provenait. Les recherches effectuées auprès de la préfecture n’ont pas permis de retrouver son propriétaire.

  3. bloggerslorrainsengages

    11 mars, 2011 à 12:15

    Insolite : un sanglier défonce un salon de coiffure dans un hypermarché

    L’hypermarché E. Leclerc de Frouard a dernièrement vécu une scène surréaliste à l’heure du goûter. En surgissant dans le magasin, un sanglier d’environ 60 kg a commencé par charger les clients du rayon liquide, avant de fondre sur les lignes de caisse. Dévalant les allées de la galerie marchande, la bête a soudain bifurqué vers un salon de coiffure, où il s’est précipité. Les trois ou quatre coiffeuses ont pris leurs jambes à leur cou en même temps que leurs clients. Un vigile en embuscade est arrivé pour fermer la porte du salon avant de la bloquer avec un massif de fleurs. Se sentant piégé, le sanglier est entré dans une colère noire et a dévasté toute la boutique. Avec ses grands coups de groin, l’animal furieux est devenu l’attraction de l’après-midi. Par mesure de sécurité, les grilles métalliques de la galerie ont été baissées, avant qu’un gendarme équipé d’un fusil à pompe reste en alerte à proximité. Finalement, après une heure de retranchement, le sanglier a été endormi par deux flèches hypodermiques tirées par un pompier vétérinaire.

  4. bloggerslorrainsengages

    3 avril, 2011 à 10:58

    Opération reproduction au zoo d’Amnéville.

    Les grands moyens ont dernièrement été déployés au zoo d’Amnéville, afin de réaliser l’insémination artificielle de Tswanee, rhinocéros blanc femelle de 11 ans et de 900 kg, dans le cadre du programme européen d’élevage de cette espèce menacée. Il faut dire que cette intervention n’a été menée avec succès que six fois dans le monde. Deux spécialistes ont introduit dans l’animal la semence prélevée dans la matinée sur un mâle du zoo de Beauval, dans le Loir-et-Cher. Les yeux de Tswanee ont été bandés et ses oreilles bouchées pour ne pas la stresser, le rhinocéros étant doté d’une ouïe fine.

    La femelle du zoo mosellan a été choisie car elle est en parfaite condition physiologique et psychologique et s’apprête à ovuler. Le seul problème, c’est qu’elle n’est pas très coopérative. A tel point que les spécialistes ont opté pour une télé-injection pour calmer et endormir partiellement le mammifère, alors que la solution manuelle avait été envisagée.

    Il a finalement fallu une heure, échographie et contrôles des spermatozoïdes compris, pour installer la semence, au prix d’une débauche d’énergie assez surprenante. Afin de maximiser les chances de succès, une seconde insémination a été pratiquée.

    Il faut désormais attendre quelques semaines pour se prononcer sur la fécondation et environ trois mois pour savoir si Tswanee sera maman. Le cas échéant, les yeux seront braqués vers les deux nouveaux mâles et la femelle attendus cet été au zoo d’Amnéville.

  5. bloggerslorrainsengages

    8 avril, 2011 à 19:15

    La sardine de Vézelise

    Passionnés de cuisine, Yannick Conraux et sa compagne Florence se sont lancés dans la création de guimauve en 2010. Une guimauve 100 % naturelle que l’on peut déguster nature ou enrobée de chocolat et qui se retrouve notamment dans la désormais fameuse « sardine de Vézelise » tous les 1er avril.

  6. bloggerslorrainsengages

    20 mai, 2011 à 22:28

    Contrairement aux idées reçues, le mois d’avril est généralement le plus sec de l’année en Lorraine et le mois d’août le plus arrosé.

  7. bloggerslorrainsengages

    20 mai, 2011 à 22:40

    Le record du monde « du plus grand rassemblement de sportifs dans un gymnase » a dernièrement été battu à Saint-Avold. En effet, 829 personnes se sont déplacées à la salle L’Agora pour participer à cours de sport collectif.

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