En arrivant à Dieulouard, entre Blénod-lès-Pont-à-Mousson et Nancy, les énormes cuves rouillées siglées de têtes de mort attiraient le regard. Les automobilistes, comme les voyageurs du TGV, ne pouvaient pas louper la verrue. Perdue au milieu d’un terrain devenu vague, une cheminée en ferraille brisée en deux apparaissait devant un bâtiment en ruine. Bonjour l’image … et l’odeur pour les …
Dieulouard veut tourner la page Pétrocarbol

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