Le SLUC a été relativement soigné par le tirage au sort de l’Euroligue effectué à Barcelone.
Le SLUC à la conquête de l’Europe (Crédits photo : sports.orange.fr)
En 2008-2009, Nancy avait hérité du groupe de la mort avec les géants que sont Barcelone, Sienne et le Panathinaikos. Au final, l’affaire n’était pas si mauvaise puisque Sopot (Pologne) et Kaunas (Lituanie) furent du niveau des Lorrains, tout proches de s’emparer de la 4ème et dernière place qualificative.
Cette fois, le champion de France ne peut pas hurler aux loups. En effet, le groupe A ne comprend que deux numéro 1, à savoir les Turcs de Fenerbahçe et … Nancy. Les autres sont des dauphins : Bilbao, Cantu, Olympiakos ou des bien classés de nation dominatrice sur le Vieux continent comme Vitoria. Evidemment, il y a un hic, car ces formations appartiennent à des pays où le basket est roi. Autrement dit, le troisième ou le quatrième espagnol vaut bien le meilleur français ou le champion de Belgique. C’est du moins le raisonnement des instances internationales qui n’ont pas vraiment tort à la lecture des statistiques.
En résumé, ce groupe A, bien qu’orphelin des monstres que sont le Panathinaikos, Sienne ou Moscou, apparaît néanmoins extrêmement dangereux par sa densité. Il s’agira pour Nancy d’en laisser deux derrière. Pourquoi pas l’Olympiakos Le Pirée en pleine crise et le club transalpin de Cantu ?
bloggerslorrainsengages
29 août, 2011 à 22:57
Avec les moyens du bord
C’est avec le 8ème budget de Pro A que le SLUC Nancy Basket, seule équipe française directement qualifiée pour l’Euroligue, va s’attaquer aux sommets européens. Avec 4,44 millions d’euros et une masse salariale de 1,4 millions d’euros, soit la sixième du championnat, le SLUC reste un petit Poucet par rapport aux ogres budgétaires qui concourent dans la plus prestigieuse compétition européenne. L’enthousiasme suscité par le titre arraché le 11 juin à Bercy n’a pas suffi à intéresser des partenaires importants. Après les embrassades et les congratulations, il n’y a pas eu beaucoup d’investisseurs. Que ceux qui pensent que le sport de haut niveau coûte trop cher nous expliquent pourquoi Cholet, Gravelines, Roanne ou Pau, villes plus petites que Nancy, sont parvenues à bâtir un budget supérieur à celui du champion de France ? Cette situation anormale devrait alerter des mécènes et convaincre les élus qui refusent de voter des subventions aux équipes qui opèrent dans l’élite, alors qu’ailleurs on se pose nettement moins de questions. Et que l’on nous dise pas qu’il y a déjà le foot à Nancy pour justifier l’injustifiable !
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29 août, 2011 à 23:01
Après 23 saisons de haut-niveau, Jean-Luc Monschau a entamé sa 8ème saison au SLUC. Un record.
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11 novembre, 2011 à 14:40
Le SLUC a dernièrement obtenu sa première victoire en Euroligue dans un match incertain jusqu’à son terme contre Bilbao, finaliste du dernier championnat espagnol, 87 à 73 à Gentilly. Nicolas Batum (26 points) s’est réveillé à temps, même si ce fut une merveille de prestation collective et d’application défensive.
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28 décembre, 2011 à 0:31
Dans le brasier passionné et passionnant de Gentilly, le SLUC Nancy a fait tomber le club basque de Vitoria, grand d’Europe 90 à 85. C’est la première défaite de la saison pour le champion d’Espagne en titre et double finaliste de l’Euroligue.
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15 janvier, 2012 à 22:43
Après avoir battu à domicile les clubs espagnols de Bilbao et de Vitoria, le SLUC Nancy a mis un coup de botte supplémentaire dans la fourmilière du Vieux continent en s’imposant devant Cantu 76 à 75 à Gentilly dans le cadre de la 6ème journée d’Euroligue. Le club lombard bénéficie pourtant d’une réputation historique avec ses 10 Coupes d’Europe dont 2 majeures.