Depuis la fin de l’année dernière, le mal de l’altitude est désormais pris en charge au CHU de Nancy-Brabois. Une cellule spécialisée a en effet été créée au sein du Service des Examens de la Fonction Respiration (EFR) et de l’aptitude à l’exercice.
Le mal aigu des montagnes ressemble au mal des transports. Plus on monte en altitude, plus la pression atmosphérique diminue. Le sang a davantage de difficultés à s’oxygéner.
Du point de vue de la recherche, le mal aigu des montagnes pourrait venir de prédispositions personnelles et génétiques, mais aucune preuve scientifique n’a encore été donnée.