L’avenir de l’association Festival psy de Lorquin est plus que compromis. En effet, faute de subventions débloquées dans les tous prochains jours, la structure devra déposer le bilan. Après avoir frôlé la liquidation judiciaire l’an dernier, il lui reste quelques heures pour trouver les 41 000 euros qui sauveraient l’organisation du festival international ciné-video-psy et la gestion du Centre National Audiovisuel en Santé Mentale (CNASM), créé à l’initiative d’une certaine Simone Veil dans un souci de communication sur la santé mentale. Dans le cas contraire, 34 ans d’histoire seront effacés et 3 emplois supprimés.
Pourtant, tout le monde s’accorde à reconnaître la qualité, la renommée, ainsi que l’intérêt du festival et de son CNASM. L’enthousiasme s’épuise cependant face au désengagement des politiques. Sans leur intervention, la délocalisation du festival et du CNASM semble inévitable.Rappelons que le CNASM assume toute l’année des missions de distribution, de production et de prestations validées par un conseil scientifique. cela représente plus de 400 films, dont 80 primés, sur les préoccupations actuelles en la matière.
Une pétition de soutien à l’association Festival psy de Lorquin a été mise en ligne (voir : http://www.mesopinions.com/LE-CENTRE-NATIONAL-AUDIOVISUEL-EN-SANTE-MENTALE-EN-DANGER-petition-petitions-fdabd885e2ac8ca5f031453ca3f96425.html). Elle sera transmise au ministère français de la santé.
Le Groupe BLE Lorraine l’a signée.
bloggerslorrainsengages
30 septembre, 2010 à 10:30
Voir notre page sur l’engagement associatif sur BLE Fondation : http://blefondation.e-monsite.com/rubrique,engagement-associatif,760090.html