La base aérienne 128 de Metz-Frescaty, avec ses 2 500 personnels civils et militaires, ses 380 hectares, ses hangars et ses infrastructures, est, comme nous l’avons plusieurs fois évoqué ici, condamnée par les iniques et odieuses restructurations militaires (voir : http://blogerslorrainsengages.unblog.fr/restructurations-militaires-en-lorraine-une-nouvelle-saignee/) à fermer ses portes dans moins de deux ans. Une école vétérinaire pourrait s’y installer d’ici cinq ans (voir : http://blogerslorrainsengages.unblog.fr/2008/11/13/lenva-a-metz/), sur ce site qui présente l’avantage d’être très proche de la ville. Une hypothèse qui a depuis peu récupéré du crédit, dans la mesure où un groupe d’experts missionné par le ministère français de l’Agriculture y travaille actuellement. Cela dit, rien n’est pour le moment décidé. En attendant, un récent rapport a montré que pour répondre aux besoins et aux nouveaux enjeux de santé publique, la France allait devoir former plus de vétérinaires dans un avenir proche. Dans cette optique, il s’agira donc, soit de créer une cinquième école, pourquoi pas à Metz, soit d’agrandir les quatre établissements existants, respectivement situés à Maisons-Alfort, Lyon, Nantes et Toulouse. A noter enfin que la mission chargée d’étudier l’hypothèse messine rendra sa copie au début de l’été.
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blogerslorrainsengages
1 mai, 2010 à 10:45
A noter qu’il existe actuellement en France quatre écoles vétérinaires, situées à Maisons-Alfort, Lyon, Nantes et Toulouse. Chacune forme chaque année environ 450 spécialistes. Or, une étude récente a dernièrement montré qu’il faudrait très rapidement en former 100 de plus par an pour assurer les besoins, notamment en milieu et rural et afin de répondre aux nouveaux enjeux de santé publique avec le traitement des contaminations alimentaires, les maladies vectorielles, les protections animales ou encore les études toxicologiques. Le site de la BA 128, qui est un outil remarquable aux dires des intéressés, pourrait dès lors accueillir une cinquième école vétérinaire. Ses hangars sont en effet parfaitement entretenus et la base possède une structure hôtelière de 661 chambres, deux restaurants, un cinéma, des terrains de sport et des salles de formation. Le tout à proximité du centre-ville de Metz. Si elle doit voir le jour, l’école vétérinaire de Metz tissera des liens évidents avec l’Université de Lorraine (voir : http://blogerslorrainsengages.unblog.fr/2008/12/09/le-label-campus-pour-luniversite-lorraine/) en cours de création, en particulier dans les domaines de la biologie, de la médecine et de l’agronomie. Enfin, l’évaluation des coûts de dépollution et de reconversion d’un site tel que la BA 128 constituera un élément déterminant dans le choix final, sachant qu’une école vétérinaire accueille en moyenne 1 200 personnes, étudiants compris, pour un coût de fonctionnement annuel d’environ 30 millions d’euros.