La Scierie du Rupt-de-Mad, installée à Bayonville-sur-Mad, projette d’implanter une plateforme de séchage du bois sur la zone économique de Chambley Planet’air (voir : http://blogerslorrainsengages.unblog.fr/2009/02/13/projet-planetair-1000-emplois-a-chambley/), moyennant un investissement de 5,2 millions d’euros. Sur un terrain de 8 hectares, la société prévoit la création d’une unité innovante intégrant l’ensemble du processus, du pré-séchage naturel dans des hangars conçus pour optimiser la circulation du vent, aux cellules de séchage alimentées par pompe à chaleur, en passant par le stockage du bois séché dans un bâtiment bénéficiant d’une isolation performante et à l’hygrométrie régulée. Selon le calendrier annoncé, le permis de construire de la plateforme devrait être déposé en mai. Le lancement du chantier interviendrait alors 6 mois plus tard. Prévue en trois phases, la réalisation du projet devrait à terme créer une vingtaine d’emplois.
(Source : presse régionale)
bloggerslorrainsengages
9 novembre, 2012 à 23:15
La Scierie du Rupt-de-Mad a dernièrement officialisé le lancement de son chantier d’extension sur la nouvelle zone d’activité de Chambley Planet’Air, située à sept kilomètres de ses installations d’origine, toujours en activité, à Bayonville-sur-Mad. Ces travaux, qui dureront deux ans, représentent un investissement de cinq millions d’euros. Ils se décomposeront en trois partie. L’entreprise devrait disposer d’ici le mois d’août d’un nouveau hangar de stockage de 4 500 mètres carrés pour ses produits finis, ainsi que de cellules de séchage d’une capacité totale de 1 200 mètres cubes. Puis, des bureaux, un local de garde et deux bâtiments basse consommation avec chauffage par géothermie devraient sortir de terre avant la fin de l’année sur les huit hectares acquis sur l’ancienne base de l’OTAN par la société. Enfin, deux hangars de préséchage seront construits à l’horizon 2014. Des emplacements sont également prévus pour en accueillir quatre autres. Grâce à ce déploiement, l’activité de la Scierie du Rupt-de-Mad (25 salariés) devrait générer, directement ou indirectement, une vingtaine d’emplois supplémentaires dans son secteur d’implantation.
(Source : RL du 28/03/2012)