Si l’est une page bien sombre de l’Histoire contemporaine de la ville de Metz après la Seconde Guerre mondiale, c’est bien celle de la nuit du 24 au 25 juillet 1961. Ce qui s’est produit passerait presque inaperçu des jeunes générations tant ces évènements restent encore méconnus. Ils ont pourtant fait quatre morts et des dizaines de blessés.
Titre de presse après les évènements du 24 juillet 1961 à Metz (Crédits phto : Le Républicain Lorrain)
Alors que le 22 juillet 1961, des paras abattent deux Algériens en plein centre-ville de Nancy, c’est le 24 au soir que tout va commencer dans l’agglomération messine, et plus précisément dans un café-dancing réputé de la rue de Pont-à-Mousson à Montigny-lès-Metz appelé le Trianon. C’est là que se trouvent près d’une soixantaine de militaires récemment stationnés en garnison de Metz, au 1er Régiment de Chasseurs Parachutistes et au Quartier Serré de Moulins-lès-Metz. Un commando algérien mitraille alors la façade du Trianon. Un barman ainsi que deux paras, dont un appelé, sont tués. Apparemment pour une histoire de femme. Mais l’origine nord-africaine des agresseurs provoque immédiatement un désir de vengeance. Aussitôt les portes des casernes s’ouvrent et quelques 200 paras décident de mener une expédition punitive à travers la ville. Les bars du quartier impérial sont littéralement la proie à un déferlement d’une violence inouïe. Un climat de guerre civile règne un peu partout en ville. Le lendemain matin, une atmosphère de désolation s’est emparée de Metz. Le célèbre buffet de la gare a été dévasté, tout comme le quartier du Pontiffroy. Le bilan officiel fait état de 4 morts et de 27 blessés. Mais le doute plane toujours sur le nombre exact de nord-africains tués. Plusieurs témoins affirmèrent que des Algériens auraient été jetés dans la Moselle cette nuit-là. Le mystère de ces sombres heures demeure encore …
toutain
5 décembre, 2009 à 19:30
il y a beaucoup de vrai dans votre article la ratonnade jai etait moi meme blesse cette nuit la trois balles de 9 mm dans une jambe une dans la fesse etune qui aurait du etre fatale car c est le macaron de mon beret qui me la deviee il fut coupet de moitie ce n etait pas mon heure
Bonsoir a vous
bye
fanny
14 février, 2012 à 21:20
J’aimerai savoir pourquoi on a pas cherche le temoingnage de la famille Coussot qui tenait le trianon, il y a encore des personne en vie,
fanny
16 février, 2012 à 17:20
Il n’y a jamais eu d’histoire de femme ladedans, mais des attaques a plusieurs reprise par les algeriens a l’epoque
contre les paras, mais aussi contre les francais en general
Les actions punitives ont ete faite , c’est vrai, mais apres plusieurs cou fourre de leur part,mon grand pere me l’a souvent dit
Les vrais fautive a l’epoque vient des autorites qui ont laisse faire ,sans reagir a tout ce qui c’etait passe a l’epoque
Comment demander a des soldats venant de la guerre d’Algerie, de se laisser insulter par eux meme en France
Comment accepter que 3 personnes trouvent la mort et des dizaines d’autres blesses, parce que des individus ont fait un carton sur un etablissement , sans ditinction entre civil et militaire
Comment accepter que les coupables ne soit jamais punis et relacher au bout de 6 mois
J’avais 8 ans au moment de ce drame